Nom de naissance André Isaac NationalitéFrance Naissance 15 aout 1893 à Châlons-en-Champagne (France) Mort 9 février 1975 (à 81 ans) à Paris (France) Récompenses Chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1939-1945, Croix de guerre 1914-1918
André Isaac, dit Pierre Dac, officiellement André Pierre-Dac à partir de 1950, né le 15 août 1893 à Châlons-sur-Marne et mort le 9 février 1975 dans le 17e arrondissement de Paris, est un humoriste et comédien français. Il a également été, pendant la Seconde Guerre mondiale, une figure de la Résistance contre l'occupation de la France par l'Allemagne nazie grâce à ses interventions sur Radio Londres.
Créateur dans les années 1930 du journal humoristique L'Os à moelle, Pierre Dac est notamment l'inventeur du Schmilblick, un objet rigoureusement intégral qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout. Il popularise également l'expression « loufoque », formée à la façon du louchébem.
Après la guerre, il constitue un fameux duo humoristique avec Francis Blanche, et conçoit et anime les populaires séries radiophoniques Signé Furax et Bons baisers de partout.
Biographie
Jeunesse et début de carrière
Pierre Dac est issu d'une modeste famille juive d'Alsace, originaire de Niederbronn-les-Bains et installée après la défaite de 1870 à Châlons-sur-Marne où le père Salomon Isaac est boucher et la mère, Berthe Kahn, femme au foyer. Il naît dans cette ville au 70 rue de la Marne. Le jeune André a trois ans lorsque Salomon saisit l'occasion d'ouvrir une boucherie au détail à Paris et la famille s'installe rue Caulaincourt. Bon élève doué pour les farces, avec des dons artistiques, ses parents lui donnent des cours de violon tandis qu'ils destinent son grand frère Marcel à reprendre la boucherie familiale.
Mobilisé en août 1914 au lendemain de son vingt-et-unième anniversaire, il revient du front quatre ans plus tard avec deux blessures : un éclat d'obus lui raccourcit de douze centimètres le bras gauche le 10 mai 1915, un autre le blesse à la cuisse en 1916. Selon lui, son frère Marcel aurait été tué, le 8 octobre 1915, pendant la bataille de Champagne, fauché par un obus allemand. Toutefois, selon les documents officiels, Marcel Isaac n'a pas été tué par un obus, mais est mort des suites d'une « maladie aggravée au service » et n'est donc pas considéré comme « mort pour la France », bien qu'il soit mort alors qu'il était toujours enregistré en tant que militaire en activité. Cependant, après vérification, l'inscription « Mort pour la France » est bien gravée sur la tombe et celle-ci, attestée par une photographie, était encore lisible en 2010.
Après la Première Guerre mondiale, Pierre Dac vit de petits métiers à Paris, coursier, chauffeur de taxi, homme-sandwich. Dans les années 1920, il est chansonnier dans divers cabarets, notamment La Muse rouge et la Vache Enragée dès 1922. Il rencontre en 1923 le chansonnier Roger Toziny qui le force à auditionner pour vaincre sa timidité et lui trouve son pseudonyme « Dac » en référence à ses dons de chansonnier d'actualités tout en rappelant la terminaison de son nom Isaac.
En 1925 il se produit à La grande fête inaugurale de la Chanson des Insurgés, à la Salle de l'Utilité publique, Bd Blanqui à Paris. Cette fête est organisée par le journal L'Insurgé de l'anarchiste André Colomer.
Le 8 janvier 1929, il épouse Marie-Thérèse Lopez, mariage qui se révèle une erreur. Pierre Dac se produit dans les années 1930 au Théâtre du Coucou, au Théâtre de 10 Francs, au Casino de Paris, aux Noctambules, et à La Lune rousse de Montmartre, où il rencontre en 1934 la comédienne Dinah Gervyl (1909-1987) (de son vrai nom Raymonde Faure), sa future seconde épouse. René Sarvil lui écrit de nombreux textes qu'il débite d'une voix volontairement monocorde. En 1935, il crée une émission humoristique de radio La Course au Trésor, et en anime une autre la Société des Loufoques qui remportent un grand succès.
L'Os à Moelle
Le 13 mai 1938, il fonde L'Os à moelle, organe officiel des loufoques, une publication humoristique hebdomadaire au nom inspiré par François Rabelais et par son père boucher (le mot loufoque vient de l'argot des bouchers, le louchébem, et signifie fou). Elle a pour collaborateurs le chansonnier Robert Rocca, les dessinateurs Jean Effel, Roland Moisan, etc. Dès son premier numéro, le journal annonce la constitution d'un « Ministère loufoque », dont les portefeuilles sont distribués « au Poker Dice ». Ses petites annonces — dont la plupart sont rédigées par Francis Blanche, qui débute — vendent de la pâte à noircir les tunnels, des porte-monnaie étanches pour argent liquide, des trous pour planter des arbres, etc. En raison de l'avancée allemande, l'hebdomadaire — dès l'origine très anti-hitlérien — cesse de paraître après 109 numéros, le 7 juin 1940. L'équipe du journal est contrainte de quitter Paris alors sur le point d'être occupé. Il reparaîtra épisodiquement en 1945-1946, puis vers 1965, avec de nouveaux talents, comme René Goscinny (Les aventures du facteur Rhésus) et Jean Yanne (Les romanciers savent plus causer français en écrivant).
Radio Londres
Réfugié en 1940 au 42, boulevard de Strasbourg à Toulouse avec Fernand Lefèbvre, futur pilote de la France libre, Pierre Dac décide de rejoindre Londres en 1941, mais il est arrêté lors de sa tentative de traversée des Pyrénées et incarcéré le 16 novembre 1941 à la Carcel Modelo (prison modèle) de Barcelone pour quatre mois. Il est ensuite remis aux autorités françaises de la zone libre, à sa demande, et il est transféré à la prison de Perpignan le 6 mars 1942, où il ne reste qu'un mois grâce à un jugement très bienveillant.
Au printemps 1943, Pierre Dac tente à nouveau sa chance en essayant de rejoindre en train le Portugal, via l'Espagne, sous une fausse identité canadienne. À nouveau arrêté le 18 mai, il est incarcéré à la prison de Valencia de Alcántara, au sud du pays. Un projet éventé d'évasion lui vaut un transfert le 4 juin à Cáceres, en Estrémadure.
Il finit par être échangé contre quelques sacs de blé et des fûts d'essence, grâce à des négociations entre Espagnols et Britanniques sous la houlette de la Croix-Rouge française. Il quitte ainsi l'Espagne pour le Portugal le 29 août 1943, et rejoint Alger puis Londres où il est emmené en avion le 12 octobre pour y rejoindre l'équipe des « Français parlent aux Français » de Radio Londres.
Il intervient pour la première fois le 30 octobre 1943. À l'antenne, il parodie des chansons à la mode (Les gars de la Marine devenant « Les gars de la Vermine », Ça fait d'excellents Français, Horst-Wessel-Lied) pour brocarder le gouvernement de Vichy, les collaborationnistes et le régime nazi. Il a été, parmi d'autres, la voix du refrain célèbre de Jean Oberlé « Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand » sur l'air de la Cucaracha, les paroles de couplet étant l'œuvre de Maurice Van Moppès. Enthousiasmé par ce slogan efficace, Jacques Duchesne, le directeur de l'émission, décida de le placer en générique de l'émission.
Fait unique, Pierre Dac a été nommé, en tant que civil, membre d'honneur du Groupe Lorraine, alors que ce groupe n'était composé que de militaires des forces françaises aériennes stationnées au Royaume-Uni. Il a reçu cette nomination honorifique suite à un déjeuner bien arrosé et qui lui fit oublier de participer à une émission de radio de la BBC prévue cet après-midi là, et qui fut son seul manquement durant la guerre.
Lorsque, le 10 mai 1944, Philippe Henriot, sur Radio-Paris, s'en prend à Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en mettant en doute son intérêt pour la France par un « La France, qu'est-ce que cela peut bien signifier pour lui ? ». L'humoriste lui répond le lendemain sur Radio-Londres dans un discours lapidaire baptisé « Bagatelle sur un tombeau », et dans lequel il déclare que son frère Marcel, mort au front lors de la Première Guerre mondiale, a bien sur sa tombe l'inscription « Mort pour la France », alors que sur celle de Philippe Henriot on écrirait « Mort pour Hitler, fusillé par les Français ». Une réponse prémonitoire, puisque Henriot est abattu par la résistance quarante-huit jours plus tard.
Après-guerre
À la Libération, il rentre à Paris où il se réinstalle avec Dinah Gervyl (épousée le 6 octobre 1944) 49 avenue Junot (à deux pas de son domicile, sera baptisée la rue Pierre-Dac en 1995). Il est reçu apprenti à la loge « Les Compagnons ardents » de la Grande Loge de France le 18 mars 1946. Il en restera membre jusqu'en 1952 et rédigera une parodie de rituel maçonnique devenue célèbre dans la franc-maçonnerie française, "Grande Loge des Voyous, Rituel du Premier Degré Symbolique". Il réalisera des entretiens radiophoniques d'anthologie en Autriche, notamment avec la cinéaste Leni Riefenstahl pour la RDF. Il revient au cabaret mais aussi au théâtre sur les scènes parisiennes (l'ABC, Les Trois Baudets, l'Olympia, l'Alhambra, le Théâtre de Paris, le Théâtre Édouard VII, etc.).
Il forme à la même époque avec Francis Blanche un duo auquel on doit de nombreux sketches dont le fameux Le Sâr Rabindranath Duval (1957), et un feuilleton radiophonique en 213 épisodes, Malheur aux barbus, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter, et publié en librairie cette même année ; personnages et aventures sont repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit 1 034 épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Plus tard, entre 1965 et 1974, en compagnie de Louis Rognoni, Pierre Dac crée la série Bons baisers de partout, une parodie en 740 épisodes des séries d'espionnage des années 1960, diffusée sur France Inter.
Surnommé par certains le « Roi des Loufoques », pour son aptitude à traquer et créer l'absurde à partir du réel, orateur pince-sans-rire et persifleur hiératique, il manie aussi bien les calembours que les aphorismes.
Son texte Le biglotron est souvent cité par les amateurs de dépédantisation. Il est l'inventeur du Schmilblick, qui « ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout. Il est rigoureusement intégral ! », le mot « Schmilblick » sera repris par Guy Lux pour un jeu télévisé (hérité de La Chose de Pierre Bellemare sur Radio-Luxembourg), puis par Coluche pour une parodie de ce jeu restée célèbre.
Dépressif, il tente à quatre reprises de se suicider aux barbituriques entre 1958 et 1960.
Candidature présidentielle
Entre 1964 et 1966 il fait reparaître L'Os à Moelle. Le 11 février 1965, Pierre Dac se déclare candidat à la présidentielle avec le MOU (Mouvement ondulatoire unifié) lors d'une conférence à l'Élysée-Matignon. Le Tout-Paris est là, et applaudit le canular. Les flashs crépitent et Pierre Dac fait son entrée avec ses catcheurs et gardes du corps : il désigne Jacques Martin Premier ministre, et deux de ses futurs ministres, Jean Yanne et René Goscinny. Après cette journée, il fait paraître régulièrement des discours grandiloquents du Mouvement Ondulatoire Unifié dans L'Os à Moelle, avec le slogan « Les temps sont durs, votez MOU ! ». Au début de l'été, sa popularité toujours montante inquiète les autres candidats et à l'Élysée, on trouve que « la plaisanterie a assez duré ». Un conseiller du Général de Gaulle, en septembre, par téléphone lui demande de se retirer. Par fidélité pour celui qui fut le chef de la France libre, l'ancien résistant accepte sans attendre. Pierre Dac justifie son retrait par la formule : « Je viens de constater que Jean-Louis Tixier-Vignancour briguait lui aussi, mais au nom de l'extrême droite, la magistrature suprême. Il y a donc désormais, dans cette bataille, plus loufoque que moi. Je n'ai aucune chance et je préfère renoncer ».
Fin de vie et mort
En 1972, un square et une statue sont inaugurés en son honneur, à Meulan. Devant les photographes, Pierre Dac et Francis Blanche posent à leur manière, c'est-à-dire en satisfaisant un besoin naturel sur le monument .
Malgré le succès, Pierre Dac est resté un homme modeste, presque effacé. Fumant depuis l'âge de 18 ans, il meurt d'un cancer du poumon dans la plus grande discrétion. « La mort est un manque de savoir-vivre », avait-il repris d'Alphonse Allais. Il est incinéré et ses cendres déposées au colombarium du cimetière du Père-Lachaise.
Jacques Pessis est le neveu adoptif, biographe et légataire universel de Pierre Dac.
, 1h29 Réalisé parRobert Dhéry OrigineFrance GenresComédie ThèmesLa mer, La provence, Transport, Le thème des vacances ActeursLouis de Funès, Andréa Parisy, Franco Fabrizi, Michel Galabru, Pierre Dac, Colette Brosset Rôle le ministre Note66% Lors de l'inauguration et de la bénédiction de la vedette rapide L'Increvable, fierté des chantiers Fourchaume, la coque de celle-ci est transpercée par la traditionnelle bouteille de champagne. Hors de lui, le directeur Louis-Philippe Fourchaume (Louis de Funès), fils du fondateur des chantiers, renvoie sur le champ le concepteur du bateau, André Castagnier (Robert Dhéry), avant même que celui-ci ait eu le temps d'apprendre à son patron qu'une autre de ses créations, un petit voilier à la coque révolutionnaire baptisé Petit Baigneur, vient de remporter en Italie les « Régates de Sanremo » et l'« Oscar de la Voile ». Une fois informé et alléché par les perspectives commerciales d'un tel succès, Fourchaume dispose, avec son épouse, d'un dimanche pour tenter de rattraper son erreur et de convaincre Castagnier de travailler de nouveau pour lui.
Pour rendre hommage aux frères Lumière, Pierre Tchernia, aidé de René Goscinny, décide de revisiter leur plus célèbre court-métrage. Ainsi, L'Arroseur arrosé devient successivement : un western, une fable de La Fontaine, un thriller d'Hitchcock, une opérette, un film de samouraï, une comédie musicale, un film de la Nouvelle Vague, un film croato-moldave, etc...
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