Martin (Mathieu Demy) a grandi et vit à Paris. Lorsqu'il perd sa mère, restée en Californie, il doit retourner dans la ville de son enfance Los Angeles, pour s'occuper des formalités liées à son héritage.
Monsieur Cinéma est presque centenaire, vit seul dans son immense villa et perd la mémoire. Il croit être le cinéma à lui tout seul et engage la jeune et jolie spécialiste Camille pour raviver sa mémoire qui flanche et pour lui raconter des histoires sur les films qu'il a réalisés.
Visite touristique et documentaire le long de la Riviera. L'exotisme, les couleurs du tourisme, celle du carnaval et de l'Éden. Une île. Des parasols qui se ferment à la fin sur une chanson de Georges Delerue.
Un homme revient passer quelques jours de vacances dans son pays natal, « La Pointe Courte », un quartier de pêcheurs de Sète. Il est rejoint par sa femme, qui annonce leur séparation. Au hasard de ses errances, de son introspection, face à ses incertitudes et au rythme des évènements quotidiens de la vie du village, à la fois rude, tragique et festive, le couple va se régénérer.
Il était une fois… un roi (Jean Marais), qui jouit d'un grand prestige auprès de ses sujets et voisins, et qui est marié à la plus belle et vertueuse des reines. Tous deux vivent en harmonie avec leur unique fille (Catherine Deneuve), et la prospérité du royaume est continuellement assurée par l'âne fabuleux qui habite leurs écuries et dont les déjections surnaturelles délivrent pierres précieuses et pièces d'or. Mais cet équilibre est rompu par le malheur : la reine se meurt de maladie. La raison d'État exigeant un héritier mâle, sur son lit de mort, elle fait promettre à son mari de ne prendre comme nouvelle épouse qu'une femme plus belle qu'elle. Les efforts des ministres pour trouver une princesse à la hauteur de la défunte reine restent vains, jusqu'à ce qu'ils admettent que seule la fille même du couple royal peut se prévaloir d'une telle beauté. Bien qu'un tel projet constitue un inceste, le roi décide de l'épouser, encouragé en cela par ses conseillers. [...]Voir plus...
Cherbourg, novembre 1957. Geneviève, âgée de dix-sept ans, vit avec sa mère, Madame Emery, jeune veuve qui tient une boutique de parapluies rue de la Tour-Carrée, à l'enseigne Les Parapluies de Cherbourg. Geneviève est amoureuse de Guy, mécanicien dans un garage. Sa mère désapprouve la relation quand elle l'apprend. Le jeune homme est élevé par sa tante (et marraine) Élise, gravement malade.
L'action se déroule en temps réel, le 21 juin 1961 à Paris. Cléo, une jeune et belle chanteuse plutôt frivole, craint d'être atteinte d'un cancer. Il est 17 heures et elle doit récupérer les résultats de ses examens médicaux dans 2 heures. Pour tromper sa peur, elle cherche un soutien dans son entourage. Elle va se heurter à l'incrédulité voire à l'indifférence et mesurer la vacuité de son existence. Elle va finalement trouver le réconfort auprès d'un inconnu à l'issue de son errance angoissée dans Paris.
Visite touristique et documentaire le long de la Riviera. L'exotisme, les couleurs du tourisme, celle du carnaval et de l'Éden. Une île. Des parasols qui se ferment à la fin sur une chanson de Georges Delerue.
Un homme revient passer quelques jours de vacances dans son pays natal, « La Pointe Courte », un quartier de pêcheurs de Sète. Il est rejoint par sa femme, qui annonce leur séparation. Au hasard de ses errances, de son introspection, face à ses incertitudes et au rythme des évènements quotidiens de la vie du village, à la fois rude, tragique et festive, le couple va se régénérer.