1942 : Albert Lory, un célibataire d'âge mûr, instituteur dans un village que l'on devine en France occupée (aucune référence géographique n'est faite), est amoureux d'une jeune collègue, Louise Martin. Mais, timide et vivant avec sa mère possessive, il n'ose pas se déclarer. De plus, Louise est fiancée à Georges Lambert qui s'avère être un « collaborateur » de l'occupant allemand. Les agissements de Georges, ceux du frère de Louise, Paul qui est un résistant, et ceux enfin des Allemands qui procèdent à des arrestations, entraînent Albert vers une prise de conscience et un élan patriotique...
Histoire d'amour entre deux personnages, histoire d'une femme du peuple qui réussit grâce à ses liaisons avec des hommes de pouvoirs à s'élever dans la société révolutionnaire française. Madame du Barry arrive notamment à intégrer la cour de Louis XV et à devenir la favorite de celui-ci. L'amour déçu, présent dans tout le film, est le moteur de l'action révolutionnaire.
Sous la Restauration, des demi-soldes, restés fidèles à l'empereur, tentent de rétablir sur le trône de France Napoléon II. Le complot échouera à cause d'une liaison amoureuse entre le colonel de Montander et Lise Dorian…
In pre-Revolutionary France, Voltaire champions the oppressed commoners and tries to warn King Louis XV (Reginald Owen) about the growing unrest among his subjects. The writer has a powerful ally in Madame Pompadour (Doris Kenyon), Louis' mistress, but the Count de Sarnac (Alan Mowbray) opposes him for his own ends.
L'ascension de Madame du Barry à travers les couloirs et les boudoirs de Versailles jusqu'à la chambre du roi Louis XV. Les frasques de la courtisane agaceront bien vite la Reine Marie Antoinette (jouée par Anita Louise) qui bannira la du Barry de la cour.
En France en 1622, Le cardinal Richelieu (Raymond Massey) propose à une des plus fines lames du pays, Gil de Berault (Conrad Veidt) dit "La Mort Noire", condamné à mort pour s'être battu en duel, un marché :
Félix Raffut, un châtelain périgourdin affolé par l'invasion allemande, effectue l'exode de sa famille et de son mobilier vers des lieux supposés hospitaliers.
À Calais, une Anglaise est attrapée alors qu'elle volait une bouteille de vin. Mise en prison, elle déclare à une autre prisonnière, Mary Smith, qu'elle est la célèbre « Lady Hamilton ».
Durant la Seconde Guerre mondiale, en 1941, un appareil de reconnaissance de la Royal Air Force, en mission au-dessus de la France, est abattu à proximité de Paris. Ses cinq occupants, traqués par les soldats de la Wehrmacht, parviennent à rejoindre la capitale. Parmi eux (outre « Baby » — grièvement blessé par un tir ennemi —, Robin, Splinter et Geoffrey), se trouve l'aviateur français Paul Lavallier qui a rallié en Angleterre les Forces françaises libres. Cherchant à contacter les services secrets britanniques opérant à Paris, il sollicite l'aide de son ancien professeur de latin, le père Antoine, prêtre à l'Église Saint-Julien, Place Jeanne d'Arc. En outre, pisté depuis le Café Langlars (face à l'église) par un agent de la Gestapo, Paul se réfugie dans l'appartement de Jeanne, jeune serveuse du café. D'abord réticente, elle accepte d'aller délivrer un message à Mademoiselle Rosay, une institutrice en contact avec les services secrets, en vue d'organiser un retour en Angleterre. Pendant que le plan d'évacuation des cinq aviateurs se met en place, Jeanne et Paul tombent amoureux l'un de l'autre. Mais l'étau se resserre, orchestré par le chef de la Gestapo, Herr Funk.