The story continues from where Sharpe's Challenge left off. On their way home to England, Richard Sharpe (Sean Bean) and Patrick Harper (Daragh O'Malley) reluctantly agree to escort Marie-Angelique Bonnet (Beatrice Rosen) to the hill fort of Kalimgong, where her fiancé, Major Joubert (Pascal Langdale), is stationed. They encounter a baggage train heading to Madras, made up of soldiers from the King's and the East India Company's armies, commanded by the young Ensign Beauclere (Luke Ward-Wilkinson), engineer Major Tredinnick (David Robb), and Subedar Pillai (Rajesh Khattar). Included in the train is a redcoat prisoner named Barabbas (Amit Behl), an Indian princess (Nandana Sen) and her retinue, and Tredinnick's pregnant wife (Caroline Carver). When the train is attacked by forces of the bandit Chitu, the Subedar is wounded. They are saved by the timely arrival of Colonel Dragomirov (Velibor Topic) and his cavalry squadron. With no one more qualified, Sharpe is forced to take command.
Dit que son bataillon devait être divisé en raison du manque de recrues à la maison, Sharpe et Harper retournent en Angleterre pour enquêter. Ce qui aurait dû être une simple requête devient politiquement explosif à mesure qu'ils se rapprochent de l'exposition des profits sur le front intérieur qui pourraient mettre en danger la guerre de Wellington.
Sharpe, avec son nouveau commandant, est envoyé pour capturer un château lorsque des nouvelles arrivent des habitants qui se lèveront contre Bonaparte. Cependant, il est quelque peu distrait par les pensées de sa femme qu'il a été contraint de quitter alors qu'il était atteint de fièvre.
Following the Battle of Jena in 1806 as the French armies commanded by Napoleon overrun Prussia, a small detachment of Prussian troops take up position in a windmill and resolve fight to the last man to hold them off for as long as possible. Meanwhile, the windmill owner's daughter chooses to stay and fight alongside them.
1809, alors que le Tyrol est occupé par la Bavière. Quand Severin Anderlan retourne après avoir fait ses études dans son pays natal, il découvre que les Français alliés de la Bavière ont détruit sa village et tué sa famille. Anderlan tire sur des soldats français et fuit avec l'uniforme d'un Hauptmann dragon bavarois. Il apprend dans un bal de cour à Innsbruck que les troupes de Napoléon envahiront bientôt, et organise la résistance armée de ses compatriotes.
Pendant une chasse à courre, André Chénier, secrétaire à l'ambassade de Londres et Madeleine de Coigny font connaissance. Après quelques remarques cinglantes de la jeune noble au poète roturier, c'est le grand amour. Le palefrenier Gérard, dont la famille sert les Coigny de père en fils est jaloux. Le père de la jeune fille, le comte de Coigny, très fier de sa noblesse s'oppose à leur amour. Dès les premiers mouvements révolutionnaires, Chénier revient à Paris. Gérard, acquis aux idées nouvelles, arrive trop tard pour empêcher le départ de ses anciens maîtres. Il se lance à leur poursuite.
Portsmouth, 1794. Sous un ciel orageux et sous une pluie battante, l'aspirant de 17 ans Horatio Hornblower fait les premiers pas hésitants de sa carrière navale, mais une querelle avec un camarade de bord entraîne des complications.
L'amiral Pellew interrompt la réception de mariage de Hornblower et le charge de localiser un navire britannique qui a disparu au large des côtes françaises, où les troupes de Napoléon sont engagées dans des activités secrètes.
Au lendemain de la fusillade du Champ-de-Mars du 17 juillet 1791, des bateleurs entreprennent de jouer les principaux événements des deux années qui viennent de s’écouler : de la réunion des États généraux à la proclamation de la loi martiale, en passant par la prise de la Bastille, la Grande Peur, et la nuit du 4 août. Dans une grande liesse populaire, ils tentent de montrer le détournement des espoirs, l’explosion de la joie puis l’effondrement du rêve d’égalité des droits. Pour ce faire, les bateleurs utilisent toutes les formes théâtrales, de la pantomime à la tragédie, des marionnettes à l’opéra-bouffe. Ils représentent ainsi les personnages importants ou humbles de cette année décisive et prennent à leur compte la phrase de Saint-Just : « La révolution doit s’arrêter à la perfection du bonheur.