Ne vous préoccupez pas des films sans intérêts dont personne n'a jamais entendu parler, et concentrez-vous sur les meilleurs films ! Voici le top films à voir :
Un Tarzan laid, lâche, quasi impuissant et ridicule part à la recherche de sa superbe et acariâtre compagne nymphomane enlevée, à travers un univers burlesque et fou, peuplé de mini-phallus, de pygmées cannibales, de fleurs nymphomanes et d'explorateurs éméchés, sur fond de valses viennoises. C'est bien malgré lui qu'il deviendra un héros.
O est une jeune femme libre et indépendante, qui est emmenée par son amant René dans un château situé à Roissy où elle devient esclave de son plein gré. René la donne ensuite à Sir Stephen qui devient le nouveau maître d'O. D'abord réticente, O devient amoureuse de Sir Stephen. Ce dernier la fait marquer au fer rouge et la soumet à diverses pratiques sexuelles sado-masochistes.
Georges Lajoie (Jean Carmet) est cafetier à Paris (place d'Aligre). Les Lajoie, avec leur fils Léon (Jacques Chailleux), bachelier, partent avec leur nouvelle caravane passer leurs vacances, comme chaque été, sur la côte provençale, au « Camping Caravaning Beau-soleil », tenu par Loulou (Robert Castel), un Pied-Noir.
Lors du remariage de Biju, sa mère, Marthe fait la connaissance d’un de ses cousins par alliance, Ludovic. Tous deux sont mal mariés et se sentent immédiatement attirés l’un vers l’autre. Ils profitent des différentes réunions de famille pour se retrouver mais la tendresse qu'ils affichent fait naître la rumeur d’adultère. Ne supportant plus cet entourage mortellement bourgeois, ils s'affichent ouvertement à une veillée de Noël, bien décidés à vivre ensemble. Assumant cette idylle amoureuse, ils décident de quitter leurs conjoints et enfants sans aucun remords.
La reine Élisabeth II est enlevée par un riche américain mégalomane (Mickey Rooney) : les services secrets britanniques demandent l'aide de leurs homologues français. Le SDECE confie alors l'affaire à quatre agents gaffeurs (les Charlots) et, pour cacher la disparition de la reine, font tenir le rôle de cette dernière par une femme de chambre qui se trouve être son sosie. L'enquête se poursuit jusqu'à Hong Kong...
Des amis de longue date, Vincent, François, Paul — respectivement chef d'entreprise, médecin et écrivain — tous la cinquantaine, se retrouvent régulièrement avec d'autres, dont le jeune boxeur Jean, pour boire, manger, ou pour passer des fins de semaine à la campagne à discuter ensemble. Ils traversent tous plus ou moins une mauvaise passe sentimentale ou professionnelle. Vincent par exemple, qui fut l'un des plus forts d'entre eux, accuse difficilement le coup depuis que sa femme Catherine l'a quitté ; il doit également faire face à des difficultés financières au sein de son entreprise. Et c'est justement à la suite d'un problème cardiaque vécu soudainement par Vincent que tous autour de lui vont peu à peu prendre conscience de la relativité de leurs problèmes personnels.
Dans la France des années 1970, Jean-Claude et Pierrot sont deux voyous qui tuent le temps comme ils peuvent en commettant des larcins. Après avoir harcelé une dame avec un chariot de supermarché et lui avoir volé son sac, ils « empruntent » une DS pour faire un tour, puis la replacent à l'endroit même où ils l'avaient dérobée. Le propriétaire, patron d'un salon de coiffure, les surprend à leur retour et les menace avec un revolver en attendant l'arrivée de la police. Jean-Claude et Pierrot parviennent à s'enfuir, mais ce dernier est blessé à l'entre-jambe par un coup de feu. Dans leur fuite, ils emmènent Marie-Ange, l'employée et maîtresse du patron du salon de coiffure. Commence alors une fuite en avant pour le trio.
Une version des Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas, complètement revisitée et parfaitement burlesque, où les Charlots jouent les valets des mousquetaires, afin de déjouer les plans du cardinal de Richelieu, de son âme damnée le père Joseph et de Milady de Winter, et ramener à la reine ses ferrets de diamants qu'elle a imprudemment offerts au duc de Buckingham.
L'irascible capitaine en retraite Fausto Consolo (Vittorio Gassman), resté aveugle à la suite d'une explosion, décide d'aller à Naples retrouver son ami Vincenzo, lui-même aveugle ; il se fera accompagner dans ce voyage par le jeune soldat en permission Giovanni Bertazzi (Alessandro Momo), mais il ne veut d'aucune pitié, ne supporte aucun désagrément, se montre en permanence agressif pour cacher son amertume et s'amuse à mal se conduire en public ; on remarque qu'il est capable de déceler la présence des femmes grâce à leur parfum. Ils partent en train de Turin et la première étape est Gênes où Fausto décide de passer quelques heures avec une prostituée (Moira Orfei).
Nicolas Mallet est un modeste employé de banque résigné à la médiocrité sociale pour la sécurité que lui procure son emploi. Introverti et terne, avec l'assistance et sous les directives d'un ancien camarade de lycée, Claude Fabre, il va devenir un séducteur assuré, un arriviste opportuniste sans ambition définie. Aux lendemains de la crise du pétrole, le Bel Ami des années 70 connaît une remarquable ascension sociale, en s'appuyant exclusivement sur les femmes qu'il séduit presque sans le vouloir, tout en étant téléguidé par Fabre. Allant chercher le pouvoir auprès de ceux qui le régentent, sachant se rendre indispensable, il va réussir son ascension et favoriser celle de sa première conquête. Ce n'est qu'à la fin du film que l'on découvre les vraies raisons de l'attitude manipulatrice de Fabre.
En juin 1944, sous l'Occupation allemande, Lucien Lacombe retourne chez ses parents. Son père est prisonnier de guerre en Allemagne et sa mère vit avec le maire du village. L'adolescent demande à son instituteur, devenu résistant, de le faire entrer dans le maquis, mais ce dernier refuse, le trouvant trop jeune. Lorsque le jeune garçon est arrêté par hasard par la police, il dénonce son instituteur et rejoint alors la Gestapo française — corps auxiliaire français de la Gestapo — devenant un agent de la police allemande alors que l'Occupation touche à sa fin. Il tombe amoureux d'une jeune femme juive, France Horn. Lucien finit par s'enfuir à la campagne avec la jeune femme et sa grand-mère.
Le film commence par une citation des Maximes de La Rochefoucauld : « L'amour, tout agréable qu'il est, plaît encore plus par les manières dont il se montre que par lui-même. »
Pendant que le président de la République française rassure son pays sur la force que celui-ci opposera à une invasion chinoise avant de s'embarquer avec son entourage dans un avion pour New York, l'armée d'occupation chinoise se met en place sans effusion de sang, et entreprend de réformer la France à sa façon. Le général Pou-Yen installe son quartier général aux Galeries Lafayette, et depuis Pékin le Comité central nomme le Français Hervé Sainfous de Montaubert au poste de gouverneur de la France occupée.
La reine de France se trouve dans l'embarras. En effet, pour leur prochaine apparition en public, le roi lui a demandé de porter le collier de ferrets qu'il lui a offert en cadeau pour la Sainte Anne. Or, la reine a déjà remis celui-ci en gage d'estime au duc de Buckingham lors d'une visite secrète, en lui faisant promettre de ne plus jamais chercher à la revoir. Elle suspecte une machination du cardinal de Richelieu et du père Joseph, prêts à tout pour la déshonorer.
Gérard, Jean, Phil et Jean-Guy sont à l'armée, mais le sergent Bellec qui s'occupe d'eux ne les lâche pas d'une semelle. Les quatre compères préférant passer leur temps à jouer aux cartes en prison, ils restent à faire des bêtises et à se faire taper sur les doigts, comme quand ils sont chargés un jour de réchauffer la piscine du colonel. Par erreur, ils envoient du mazout dans la piscine, inondent la cave du colonel de mazout et se retrouvent coincés avec le sergent et le colonel. Un jour, ils parviennent à s'évader et se réfugient dans une ferme que l'armée veut réquisitionner parce qu'elle se situe sur un de ses terrains. Ils aideront les occupants avant d'aller dire « oui » (ou plutôt « non ») devant Monsieur le maire.