Ne vous préoccupez pas des films sans intérêts dont personne n'a jamais entendu parler, et concentrez-vous sur les meilleurs films ! Voici le top films à voir :
L'action se déroule en 1899 à la fin de la conquête de l'Ouest. Jack Beauregard, interprété par Henry Fonda, est un héros vieillissant qui veut quitter les États-Unis pour aller finir ses jours en Europe. Avant de payer son passage en bateau pour le Vieux Continent, il souhaite venger la mort de son frère Nevada Kid qui exploitait une mine d'or avec un certain Sullivan, son associé. Sur sa route il croise un jeune aventurier (Terence Hill) qui se présente comme étant « Personne », admirateur facétieux de Beauregard depuis son enfance, qui multiplie les calembours et semble chercher son amitié. Alors que des hommes de main de Sullivan essayent de le tuer, Jack Beauregard est sauvé par l'inconnu qui lui fait part de son admiration en relatant ses exploits passés du temps où Beauregard était un justicier exceptionnel connu dans la région.
Lors de la débâcle de juin 1940, la septième compagnie de transmission est réfugiée dans un bois. Trois hommes sont envoyés dans un poste d'observation : les soldats Pithivier (Jean Lefebvre) et Tassin (Aldo Maccione) et le sergent-chef Chaudard (Pierre Mondy). Ceux-ci établissent une liaison téléphonique entre leur position d'observation et le bois où la 7e compagnie est regroupée. Malheureusement, le fil téléphonique passant sous la route est soulevé par une branche et est rapidement repéré par une colonne allemande qui encercle la 7e compagnie et la fait prisonnière. Seul le trio Pithivier, Tassin et Chaudard parvient à s'échapper.
Au Mexique, un requin dévore un espion prisonnier d'une cabine téléphonique jetée à la mer. Pour enquêter sur cet événement, on appelle à la rescousse l'agent français Bob Saint-Clar, le meilleur agent secret du monde. Celui-ci est dépêché sur place où l'attend la très belle Tatiana, agent secret également. Sur une plage exotique, ils sont attaqués par une horde d'ennemis envoyés par l'infâme Karpov, chef des services secrets de la République populaire d'Albanie et ennemi de toujours de Bob Saint-Clar. Parmi eux, une femme de ménage passe l'aspirateur dans le sable…
Hugo Cordell, grand patron de la presse et de l'industrie, trouve la mort dans l'explosion de son avion, entre Genève et Paris. L'examen des débris de l'appareil ne permet pas d'établir avec certitude les causes de l'accident.
Quatre hommes, au beau milieu de l'hiver, fatigués de leurs vies ennuyeuses et de leurs désirs inassouvis, décident de s'enfermer dans une villa pour ce qu'ils appellent un « séminaire gastronomique » pour en fait se livrer à un suicide collectif en mangeant jusqu'à ce que mort s'ensuive. Les quatre acteurs principaux ont gardé leurs véritables prénoms pour interpréter leur personnage.
Jean, Phil, Gérard et Jean-Guy sont quatre copains qui habitent la même barre HLM. Ils préfèrent davantage boire un coup au bistrot d'Émile que d'aller travailler à l'usine de tondeuse à gazon. Ils ne tardent pas à se faire renvoyer à cause de leur manque de professionnalisme. Émile les aide à retrouver de petits boulots : Gérard fait visiter des appartements, Jean livre le lait, Jean-Guy répare une voiture et Phil distribue des tracts. Mais lorsque le commerce d'Émile est menacé par l'ouverture d'Euromarché situé en face, les quatre amis vont tout faire pour l'aider...
Ralf Milan (Lino Ventura) est un tueur à gages qui doit exécuter son « contrat » depuis sa chambre d'hôtel donnant sur le palais de justice de Montpellier : en l'occurrence, il doit abattre un certain Louis Randoni (Xavier Depraz) avant que celui-ci ne fasse des révélations compromettantes lors d'un procès. Son voisin, François Pignon (Jacques Brel), représentant en chemises, délaissé par son épouse qui l’a quitté pour le docteur Fuchs (Jean-Pierre Darras), un psychiatre réputé, essaye de se suicider en se pendant à la tuyauterie de la salle de bains et provoque une inondation. Milan persuade le garçon d'étage de ne pas appeler la police, promettant de veiller lui-même sur le dépressif pour éviter une récidive. Il se trouve alors englué irrémédiablement dans les problèmes de Pignon au détriment de sa mission. Après mille péripéties où Milan ne parvient pas à se débarrasser de Pignon, les deux protagonistes se retrouvent en prison, où le second continue à emmerder le premier.
Germain Cazeneuve (Jean Gabin), ancien policier, est devenu éducateur pour délinquants afin de les réinsérer dans la vie active à leur sortie de prison. Il se porte garant envers Gino Strabliggi (Alain Delon), ancien truand condamné à douze années de prison pour l'attaque d'une banque. Libéré avec deux ans d'avance grâce à Cazeneuve, Gino retrouve sa femme Sophie (Ilaria Occhini), qui a patiemment attendu durant ces dix années et tient une boutique, et il reprend goût à la vie. Des liens amicaux naissent entre les deux hommes (Gino Strabliggi considère Germain Cazeneuve comme son père), l'ancien détenu et son épouse sont invités à des moments de convivialité avec la famille de Germain, avec lequel il sympathise.
À New York, dans la dynamique communauté hassidique de Brooklyn. Des Juifs à longues barbes et papillotes, habillés de longs caftans et de grands chapeaux noirs, déambulent dans les rues en tenant des discussions animées tandis que des enfants, à la tête encadrée des mêmes papillotes et portant de grandes kippot, jouent au baseball à même le trottoir avec les bornes d’incendie. Les jeux et discussions sont interrompus pour saluer Rabbi Jacob, vénérable rabbin de ladite communauté, qui s’apprête à gagner Paris pour assister à la Bar mitzva d’un jeune parent, David Schmoll. Juif typique de ce milieu, il s'exprime avec un fort accent yiddish quelle que soit la langue dans laquelle il parle. Après avoir embrassé la mezouza de sa porte au milieu des acclamations de ses fidèles, il prend pudiquement congé de sa femme et reçoit un gâteau au fromage avec ses dernières recommandations pour le voyage qu’il entreprend avec son secrétaire Samuel. De nombreux hassidim envahissent le taxi pour accompagner leur vénéré rebbe à l’aéroport JFK, ce qui de prime abord encombrant, se révèle assez pratique pour passer outre les embouteillages, au sens propre. Au cours du trajet, Rabbi Jacob se laisse aller à une douce rêverie, fredonnant J’irai revoir ma Normandie car « c’est fronçis, c’est la Fronce, […] c’est lé pays qui m’a donné lé jour ».
En 1930 à Paris, Léon Galipeau, médecin généraliste à la compétence discutable, ausculte Louis Martinet, célibataire de 59 ans. Persuadé que son patient, usé, n'a que deux ans tout au plus à vivre, Galipeau convainc son frère Émile d'acquérir en viager la maison de campagne que possède Martinet dans un petit village de pêcheurs alors méconnu : Saint-Tropez. Confiants dans leur affaire, les deux frères acceptent même d'indexer la rente viagère sur le cours d'une valeur, pensent-ils, sans avenir : l'aluminium.
Le commissaire divisionnaire Le Guen, qui a réussi à arrêter le tueur Georges Gassot, se heurte aux méthodes plus modernes de François Tellier, nouveau directeur de la P.J. Gassot s'enfuit de l'hôpital psychiatrique à destination de Marseille où il rencontre une jeune prostituée allemande Gerda. Mais Le Guen, par l'intermédiaire d'un journaliste, fait croire au Milieu que Gassot est à Marseille pour se mettre à la tête de leurs affaires ; le meurtre du souteneur de Gerda, à Marseille, et celui du passeur de Gassot à Marseille laissent croire à cette version. Gassot remonte à Paris, suivi par Le Guen.
Marseille, 1934. Xavier Saratov est en prison pour un meurtre que Jeannot Villanova, le patron de la pègre marseillaise, lui a fait endosser en mettant un cadavre dans sa voiture. Georgia, sa sœur, et son ami Roberto Borgo, surnommé « la Scoumoune » parce qu'il porte malheur à ses ennemis en dégainant et en tirant plus vite qu'eux, tentent de prouver son innocence. Xavier est condamné à vingt ans de prison.
Jean, qui est réalisateur, vit avec sa femme Françoise, mais depuis plusieurs années, il réside le plus souvent chez sa maîtresse Catherine (Colette, dans le livre). Pour des raisons professionnelles (tournage d’un film), Jean propose à Catherine de l’accompagner en Camargue, afin qu’elle assure la prise de son. La conduite de Jean est odieuse et après une scène inqualifiable, ils se réconcilient cependant, avant de rentrer à Paris. Ainsi commence un cycle invivable de disputes suivies de réconciliations. Elle s’enfuit en province, chez sa grand-mère, mais ne pouvant vivre sans elle, il la rejoint. Alors qu’il s’attache de plus en plus, elle prend un chemin opposé qui lui fait refuser tout ce qu’elle acceptait jusqu’à maintenant. La rupture intervient peu après qu’il lui propose de se marier. Catherine a décidé d’épouser un autre homme. Une dernière entrevue lui donne quelques explications.
Avec sa femme Marie-Louise et ses deux enfants Jean-Paul et Laura, Alexandre Boursault, notaire de province, aurait été le plus heureux des hommes si sa femme n'affichait ouvertement ses opinions gauchistes et ne participait à toutes sortes de manifestations. La vie commune n'étant plus possible, le 2 février 1962, jour de la Chandeleur, Alexandre Boursault se sépare de sa femme pour s'installer dans le plus grand hôtel de la ville. Au fil des années, Marie-Louise élève ses enfants et tente de rester fidèle à son idéal politique… Mais elle se trouve bientôt réduite à l'inaction, sans mari, sans métier, sans enfants. En dix ans elle touche plusieurs fois le fond de l'abîme. On la croit folle.
La « princesse » d'un bidonville de Champigny-sur-Marne, à l'aide de ses serviteurs dignes d'une cour des miracles recycle, dans une machine qui joue une samba, tous ceux qui lui tombent entre les mains. Leurs os servent ensuite parfois de « saintes reliques » aux autorités ecclésiastiques.