Jet Li interprète le rôle d’un père qui depuis la mort de sa femme, élève seul son fils de vingt deux ans qui est autiste. Atteint d’un cancer en phase terminale, il tente de trouver une solution qui permettrait à son fils Dafu de s’en sortir sans lui...
Un homme se réveille seul au milieu du désert avec une cagoule noire sur la tête et les mains liées derrière le dos. Aux portes de la mort, il est découvert par une femme vivant seule dans le désert et est soigné. En reprenant conscience, l'homme se rend compte qu'il est amnésique et n'a aucune idée de qui il est. Son seul indice, un morceau de papier dans sa poche avec le nom "Manny Elder" dessus, l'envoie en voyage à Los Angeles pour découvrir son passé. Mais les choses et les gens ne sont pas ce qu'ils semblent être et des indices mènent à quelque chose de plus grand et de plus inhabituel que l'homme n'aurait jamais pu imaginer.
Vétérans américains de la guerre d'Irak, une douzaine d'hommes restent traumatisés par la mort qu'ils ont vue, frôlée ou donnée. Dans un centre d'accueil en Californie, ils mènent une thérapie de groupe pour verbaliser les horreurs qui les hantent et se délivrer du stress post-traumatique.
Vincent, un jeune homme souffrant du syndrome de la Tourette qui vient de perdre sa mère, est placé dans un institut par son père, un politicien autoritaire. Là, vincent fait la connaissance de Marie, une anorexique, et d'Alexandre, animé d'un trouble obsessionnel compulsif. À trois, ils vont voler la voiture de la directrice de l'établissement, le Dr Rose, et rouler vers Trieste en Italie, où Vincent s'est promis de jeter en mer les cendres de sa mère.
Le Mur est un documentaire réalisé en 2011 par Sophie Robert et produit par la société Océan Invisible Productions, en partenariat avec Autistes sans frontières, une association qui milite en faveur d’une prise en charge comportementale éducative des personnes autistes et contre la prise en charge psychanalytique.
The movie begins with frank, humorous interviews of two men who set out to kill themselves and then moves into a Day Of The Dead celebration where the guests celebrate the lives of those whom they have lost. Director Stutz questions his family about his mother's suicide in 1979 and how little they've actually discussed it, visiting his mother's grave site with his sister and listening to old tapes of their mother. He talks to several survivors and experts before commissioning several artists to come up with works about suicide: A band (The Bigfellas) agrees to make a song about suicide "that you can dance to"; an illustrator (Patrick Horvath) is to make short animated films (which run through the documentary as interstitials); a choreographer (Danielle Peig) chooses to create a dance piece based on two autopsy reports; and a standup comedian (Duncan Trussell) compiles material for his act about suicide with the help of several top comedy writers. Meanwhile, Stutz continues to interview and engage his family about his mother's death, eventually staging his mother's suicide (where he discovered her unconscious at the age of 12) on screen with members of the "avant-garde circus" troupe, The Lucent Dossier Experience.
Éric Duvivier, neveu du cinéaste Julien Duvivier, fut très tôt initié au septième art. Après la Seconde Guerre mondiale, il entrepris des études de médecine à Paris qu'il finit par abandonner. Passionné de cinéma, il créa en 1947 le Centre international du film médical qui organisa la même année le premier Congrès international du film médical au palais de la Mutualité à Paris.
Yves est considéré par l’institution hospitalière comme « inéducable et irrécupérable ». Pris en charge en 1958 par Fernand Deligny, éducateur singulier dont les tentatives de cures libres refusaient l’ordinaire des méthodes psychiatriques, Yves devient en 1962 le personnage central d’un film tourné dans les Cévennes.
Yves et Richard s’évadent de l’asile.
En se cachant, Richard tombe dans un trou.
La fille d’un ouvrier de la carrière proche observe Yves resté seul et le ramène à l’asile.
Le film suit pendant 3 mois les patients d'un hôpital psychiatrique du Yunnan ; spécifiquement ceux de l'étage pour hommes, mais aussi un patient en permission de sortie et de retour chez ses parents.
Le film décrit le quotidien des employés du Département des Anciens combattants des États-Unis qui répondent au téléphone sur la hotline dédiée au suicide de vétérans.
La belle Kiran Awasthi (Juhi Chawla) termine ses études et rentre auprès de son frère, de sa belle-sœur, et de son fiancé. Son fiancé, Sunil Malhotra (Sunny Deol), est un officier de marine courageux et téméraire, très amoureux de Kiran. Rahul Mehra (Shahrukh Khan), le fils du supérieur hiérarchique de Sunil, est lui aussi fou amoureux en secret de Kiran. Un soir, il lui déclare sa passion, puis disparaît. Puis c’est par téléphone qu’il la harcèle. Il cherche à la rencontrer, et va jusqu’à blesser Sunil pour ça. Celui-ci, inquiet de la tournure que prend ce délire passionnel, décide d’épouser au plus vite Kiran et de partir en lune de miel le plus loin possible. Ils font croire qu’ils partent pour Goa mais s’envolent pour la Suisse.
Norman Bates est l'auditeur d'une émission de radio pour témoigner du sujet de l'émission J'ai tué ma propre mère. Après la mort de son père, Norman et sa mère Norma vivaient reclus dans une interdépendance malsaine. Alors qu'il était adolescent, il devint follement jaloux quand sa mère prit un amant. Il les assassina à la strychnine et conserva le corps de sa mère. Aujourd'hui « réinséré », Norman est marié, et sa femme est enceinte. Le sujet de l'émission le ramenant à ses douloureux souvenirs de tueur, lui fait peur de donner naissance à un rejeton comme lui qui perpétuerait une lignée maudite. Ses souvenirs le poussent à vouloir tuer sa femme et l'enfant qu'elle porte, espérant se libérer définitivement de sa mère.
Le Dr Henry Carter est psychiatre pour célébrités ; depuis qu'il a perdu sa femme, il fume du cannabis à longueur de journée et doute de ses capacités à aider ses patients.