Stefan Brand est un riche pianiste qui aime sortir la nuit et séduire les femmes. Un soir, alors qu'il rentre chez lui, il trouve une lettre d'une expéditrice inconnue. Les premières lignes l'accrochent et la lecture l'occupe finalement toute la nuit. Au fur et à mesure, il se découvre un passé sous le regard passionnel d'un être qu'il a ignoré.
Venu pour la journée à Brest, Simon Nardis ne peut pas imaginer qu’après dix ans d’éloignement volontaire, l’enchaînement des retards et des trains ratés va l’entraîner dans un club de jazz. Sur scène, le trio conclut le set avec un morceau qui le trouble mystérieusement. Irrésistiblement attiré par le piano, Simon monte sur la scène. Le résultat est pitoyable. Debbie apparaît alors pour le sauver de la noyade.
Pianomania emporte le public dans un voyage plein d'humour à travers le monde secret du son et accompagne Stefan Knupfer dans son travail extraordinaire avec quelques uns des grands pianistes du monde, Lang Lang, Pierre-Laurent Aimard, Alfred Brendel et Rudolf Buchbinder.
Paul, jeune pianiste virtuose de 33 ans amateur de chouquettes, vit avec ses deux tantes aristocrates, Annie et Anna, qui tiennent un cours de danse dont il est le pianiste attitré. Il est muet depuis l’âge de deux ans, où il a vu ses parents, Anita et Marcel, mourir devant lui.
Dans les années 60, Mère Augustine dirige un couvent catholique québécois qui abrite une école de jeunes filles. Passionnée de musique, elle a donné aux cours de musique une grande place dans l'enseignement des pensionnaires. Le calme du pensionnat est soudainement brisé par l'arrivée en cours d'année de la nièce de Mère Augustine, Alice Champagne, une pianiste brillante mais une élève turbulente. Et, pour ne rien arranger, le pensionnat est menacé par l'ouverture au Québec de nombreuses écoles publiques gratuites. Mais les sœurs ne comptent pas rester oisives face à la situation.
Avec le fil rouge d'une jeune serveuse provinciale et autour du théâtre des Champs-Élysées à Paris, plusieurs personnages font basculer leur vie : un riche homme d'affaires liquide sa collection d'art moderne chez Drouot ; une comédienne populaire qui répète au théâtre rêve d'interpréter Simone de Beauvoir ; un pianiste préparant son concert étouffe dans ses conventions ; la concierge part à la retraite…
Depuis plus de 60 ans, Traude Krüger (Monica Bleibtreu) donne des cours de piano dans une prison pour femmes. Ces cours sont considérés comme un luxe par le personnel de la prison, d’autant plus que seulement quatre détenues en bénéficient, et lorsque le directeur Meyerbeer (Stefan Kurt) en fait la remarque auprès de Traude Krüger, celle-ci se met en colère puisqu’elle prend la majeure partie des frais à sa charge. Par exemple, elle fait installer un nouveau piano qu’elle a elle-même acheté.
À cause d'un accident de train, Paul Orlac, pianiste, perd l'usage de ses deux mains. On lui en greffe alors de nouvelles qui s'avèrent être celles d'un assassin récemment exécuté. Pris de panique et d'angoisse, il va douter de son emprise sur ces mains meurtrières.
Ancien boxeur lessivé, Jo-ha (Lee Byung-hun) doit retourner vivre chez sa mère (Yoon Yeo-jeong ) qui l'avait abandonné et il fait la rencontre de son petit frère, Jin-Tae (Park Jung-min ), un pianiste d’un talent exceptionnel soufrant du syndrome du savant, qu'il ne connaît pas.
À la fin du XIX siècle, en Italie, dans la ville de San Stefano, Francis Ingram est un pianiste paralysé d'une main mais qui joue de l'autre, la gauche, avec talent. Il est très attaché à Julie Holden, son infirmière, dont Conrad Ryler, l'ami d'Ingram, est également amoureux. Hilary Cummings, le secrétaire d'Ingram, est un petit homme passionné par ses livres sur l'astrologie. Ingram va trouver une mort brutale à la suite d'une chute accidentelle dans l'escalier de sa demeure. Le musicien a légué toute sa fortune à Julie, mais le testament est contesté par Arlington, son beau-frère et Donald, le fils de celui-ci. Avec l'aide de Duprex, un notaire retors, ils veulent faire annuler le testament et ordonnent à Hilary de quitter les lieux. C'est alors que des évènements violents vont se succéder.