Des étudiants en anthropologie se rendent en Amazonie pour démentir les rumeurs de tribus cannibales. Sur place, ils rencontrent Mike et Joe, deux Américains trafiquants d'émeraudes et de cocaïne, ayant réduit des indigènes à l'esclavage. À la suite du mauvais traitement des indigènes par les trafiquants, du viol et du meurtre d'une jeune fille de la tribu ainsi que d'autres tortures infligées à leur peuple, les indigènes se révoltent contre leurs tortionnaires. Ces derniers vont être soumis aux pires outrages.
Piero (Johnny Dorelli), chirurgien dentiste, séparé de sa femme Roberta (Laura Antonelli), décide d'acheter un bateau appelé Biba, pour passer deux semaines de vacances avec ses deux enfants Claudio et Fiorella en effectuant la traversée depuis Civitavecchia jusqu’en Sardaigne. C’est lui qui a la garde des enfants cette fois. Roberta arrive aussi de Milan et elle s’installe sur un yacht appartenant à l’Ingénieur Attilio Casorati (Christian De Sica). Les vacances commencent sous les meilleurs auspices, chacun de son côté. Lui sur le Biba avec ses enfants et elle sur le gigantesque Kabir rempli de snobs riches.
Elia vit dans une splendide demeure près de Voghera.Il n'aime pas la ville,il n'aime pas la compagnie et il met à gêne les femmes qui tournent autour de lui et qu,il voit perturbatrices de la paix agreste.Seule,la gouvernante est admise dans la ferme.Mais un jour la belle Lisa casse l'automobile de celui-ci et tombe amoureuse de ce névrosé.D'abord pour pari,ensuite par passion,elle décide de le séduire ,mais ce ne sera pas une entreprise facile...
Dans un train où voyagent les époux Snàporaz, le mari aborde une inconnue qui se dérobe et descend lorsque le convoi s'arrête en pleine campagne. Snàporaz suit cette dame et se retrouve dans une grande maison emplie de femmes tenant une sorte de congrès. Il va aller d'une rencontre étrange à l'autre, tombant notamment sur un Don Juan vulgaire, Katzone...
« D'après le roman d'Umberto Saba (1954), le réalisateur conte en images parlantes l'histoire, à la fin du XIX siècle, d'un jeune italien à problèmes, Ernesto (Martin Halm) qui veut devenir violoniste de concert.D'un modeste milieu juif, il a grandi d'un père et d'une mère concubins. Son oncle ayant perçu la différence d'Ernesto, il lui paie une prostituée, mais ce sera l'échec. D'autre part, ayant essayé de conquérir sans grande envie une petite élève de son cours, le jeune homme est amoureux fou d'un jeune ouvrier – Michele Placido – qui se refuse d'abord. Et c'est au moment où, enfin consentant, le ragazzo lui cède, qu'Ernesto, si l'on peut dire, « redresse » le gouvernail. En fait, Ernesto craint un destin conditionné par ses goûts, une vie vouée au mensonge. Il faut ajouter qu'Ernesto s'est rendu compte, lors d'une expérience peu réussie avec un garçon coiffeur, que dans la relation homosexuelle il y a du bon et du mauvais. Dans le cadre de ses cours de violon, il rencontre un jeune homme de 15 ans (Ilio) qui lui présente sa sœur jumelle Rachel (Lara Wendel), qu'Ernesto épousera finalement. Salvatore Samperi observe tout cela avec acidité, drôlerie, évitant la caricature délibérée, et une certaine chaleur humaine. La fin du roman (inachevé) était optimiste. Le film l'est moins.
Dans un oratoire du XIII siècle, un orchestre symphonique (formation d'une quarantaine de musiciens) répète une œuvre de Nino Rota (même si le nom du compositeur n'est jamais mentionné). Le représentant syndical de l'orchestre vient prévenir les musiciens qu'une équipe de télévision va venir filmer la répétition, et interviewer les musiciens qui le souhaiteront.
L'histoire de quatre familles de paysans pauvres dans une grande ferme en métairie du côté de Bergame, à la fin du XIX siècle. Le travail communautaire, au fil des saisons, les évènements, fêtes, mariages, naissances, veillées. L'histoire se centre sur la famille Batisti, leur fils de sept ans, Ninec, dont l'intelligence est remarquée par le prêtre qui voudrait lui faire continuer l'école au village voisin. Pour lui tailler des sabots neufs, son père abat un arbre du propriétaire, celui-ci s'en apercevant, chasse la famille de la ferme.
Dans la Sardaigne des années 1940, à l'âge de cinq ans, le petit Gavino est contraint d'abandonner l'école après deux mois seulement car il doit dorénavant aider son père à garder les animaux.
Titta, un gamin à l'œil vif, s'échappe souvent de la pétaudière familiale pour aller rôder dans les rues et découvrir le monde. Il rencontre de drôles de gens : un colporteur mythomane, un accordéoniste aveugle, une buraliste à la poitrine accueillante, une religieuse naine, etc.
Mexique, 1913. Deux personnages font connaissance : un pilleur de diligences, Juan Miranda (Rod Steiger), et un Irlandais, membre de l’IRA en fuite, spécialiste en explosifs, John Mallory (James Coburn) — mais dont le véritable prénom est Sean, le personnage souhaitant occulter son passé irlandais en dissimulant son identité. Juan voit en John le complice idéal pour braquer la banque de Mesa Verde qui se révélera plus riche en prisonniers politiques qu’en lingots d’or. Juan et John vont alors se trouver plongés en plein cœur de la tourmente de la révolution mexicaine, et ce, bien malgré eux.
Juillet 1950. Le cadavre du bandit sicilien Salvatore Giuliano est découvert dans la cour d'une maison de Castelvetrano. Un commissaire y dresse un bref constat, des journalistes recueillent quelques renseignements. Plus tard, son corps est exposé à Montelepre, sa commune natale ; la foule vient s'y recueillir, sa mère le pleure...
À Rome, le jour férié du Ferragosto (quinze août), la ville est déserte. Bruno Cortona (Vittorio Gassman), la quarantaine vigoureuse, amateur de conduite sportive et de jolies femmes, déambule en voiture, une Lancia Aurelia B24, à la recherche d’un paquet de cigarettes et d’un téléphone public. Roberto Mariani (Jean-Louis Trintignant), un étudiant en droit resté en ville pour préparer des examens, l’accueille chez lui. Sous l’impulsion de l’exubérance et du sans-gêne de Cortona, ils entreprennent un voyage en voiture qui les emmènera vers des destinations toujours plus lointaines. Le jeune étudiant va découvrir l’écart entre la réalité et ce qu’il imaginait concernant l’amour et les rapports sociaux.