Klaus est un ancien tortionnaire de camp de concentration. Il était chargé de l'exécution des enfants et assouvissait ainsi ses penchants pédophiles. Après la guerre et réfugié en Espagne il tente de refaire sa vie. Il se marie et est père d'une petite fille, cependant il ne peut résister à ses pulsions sadiques et torture des garçons qu'il séquestre dans la cave de sa maison. Rongé de remords, il veut se suicider en se jetant du haut d'une tour mais il survit et reste totalement paralysé et enfermé dans une machine qui le maintient en vie, un poumon d'acier.
Un homme part à la recherche de sa fiancée disparue. Il aboutit dans une maison où vivent une mère et sa fille. Elles le découvrent, le séquestrent, et lui font subir divers sévices.
Entre le mari (Richard Bohringer) et sa jeune femme (Laetitia Casta), la différence d'âge est telle qu'elle cherche ailleurs Une histoire d'amour. Le Banquier (Benoît Poelvoorde) l'initie aux armes à feu et au sado-masochisme. Lié par une affaire d'argent, le couple jouit d’un pouvoir autodestructeur dans une passion fatale.
Tyvian Jones est de passage à Venise, à l'occasion du Festival cinématographique. Son livre vient d'être porté à l'écran. Cet être dur et sans scrupules jouit d'une réputation usurpée : il a publié sous son nom le travail littéraire de son frère qui vient de mourir. Il rencontre Eva, une Française qui a décidé d'être le prototype de la courtisane moderne. Cette séductrice s'interdit d'aimer et elle ne veut pas qu'on l'aime.
Un jeune sculpteur, Y, se lie d'amitié par correspondance avec une fille prénommée J. Après lui avoir parlé au téléphone, et après avoir affirmé qu'elle ne désirait pas perdre prématurément sa virginité comme ses deux sœurs, elle décide d'avoir une relation intime avec lui et lui donne rendez-vous dans un motel. Aussitôt entrés dans le motel, ils ont une relation sexuelle incluant sodomie et fellation. Durant le deuxième rencart, Y lui annonce ses intérêts pour le sadomasochisme, et J lui donne l'autorisation de la battre avant d'avoir une relation sexuelle.
La détective Catherine Palmer (Ellen Barkin) enquête sur une affaire de meurtre en série impliquant des femmes bourgeoises qui ont été torturées à mort par un sado-maso. Toutes ont les cils coupés. L'investigation mène Catherine vers un groupe de bourgeoises fortunées où elle rencontre la première suspecte, Vickie Kittrie (Peta Wilson). Celle-ci a un fort penchant pour le sado-masochisme et pour les femmes, tout comme le Dr, Broussard (Julian Sands), le thérapeute des victimes, qui cache lui-même de sombres secrets. L'histoire se complique au fur et au mesure que l'enquête avance.
Justine et Juliette, deux sœurs inséparables, ont passé leur enfance et leur adolescence dans un couvent. Leur père ruiné s'est exilé et leur mère est morte de chagrin, un double abandon à l'origine de leur internement. Désormais adolescentes, elles quittent ensemble le bâtiment avec une petite somme d'argent. Arrivées à Paris, Juliette se rend dans une maison close pour faire fortune tandis que Justine prend peur et quitte le bordel.
Le film commence par une scène de torture. Des collégiennes cachées derrière un masque chirurgical, les bouches fardées, éclatantes d'un rouge vif, torturent à mort une jeune femme.
Le film évoque essentiellement les quelques mois que, en pleine Terreur, le Marquis de Sade (Daniel Auteuil) passa à la clinique de Picpus, de fin mars 1794 jusqu'après la chute de Robespierre, qui lui permit d'échapper de justesse à la guillotine. À la clinique de Picpus, où la petite noblesse et l'aristocratie en état d'arrestation tuent le temps et tentent d’échapper à l'échafaud en soudoyant les geôliers, tout en jouissant d'une relative liberté à l'intérieur de l'enceinte, Sade arrive précédé de sa réputation sulfureuse d'écrivain libertin et immoral, à éviter.
A Paris. Un homme revient dans le milieu brillant qu'il a quitté quelques années auparavant. Il va retrouver une femme qui le tint toujours étrangement éloigné et il va découvrir une jeune fille romantique et mystérieuse. Cette rencontre de trois êtres va peut-être leur permettre de se définir...