Christine et Léa sont deux sœurs au passé déjà difficile et dont les rapports s'avèrent ambigus. M Lancelin les prend à son service en tant que bonnes. Christine voit en M Lancelin une figure de mère idéale malgré sa sévérité. Mais la mauvaise influence de la mère des deux jeunes sœurs est très néfaste et la situation se dégrade. Les sœurs se renferment et finissent par commettre le pire en assassinant M Lancelin et sa fille après 6 ans de service.
Décembre 1980. Mark Chapman, un jeune homme perturbé venu de Hawaii, se rend à New York dans l'espoir de rencontrer John Lennon. Dégoûté par son existence morne, il se laisse rapidement submerger par ses démons et, toujours accompagné par L'attrape-cœurs de J. D. Salinger, livre auquel il voue une passion obsessionnelle, il décide de commettre l'irréparable en planifiant l'assassinat de son idole.
Le 19 octobre 2007, le Président George W. Bush se fait assassiner sous les yeux effarés de la foule. Le film retrace l'horreur de cette situation fictive et la traque du meurtrier par le FBI à la manière d'un document TV.
Pour la nouvelle commissaire de Saint-Malo et la rumeur, le meurtrier et violeur d'une fillette de 10 ans est René, son professeur de dessin. Celui-ci, dépressif et invalide après un attentat, a perdu l'inspiration. Son épouse extravertie est un instant séduite par Desmot, un médiocre intellectuel mondain très médiatisé. Les époux convient Desmot à un dîner bien arrosé . René reconduit Desmot chez lui. Ce dernier est retrouvé mort dans les rochers près de sa maison.
Dans les années 1960, dans un pays méditerranéen (il est suggéré de manière allusive qu'il s'agit de la Grèce), dans le contexte de la Guerre froide, les corps de la gendarmerie et de la police estiment qu'il est de leur devoir de s'opposer, par tous les moyens, aux mouvements considérés comme subversifs, qu'il s'agisse du communisme, de l'anarchisme ou du pacifisme.
Au début des années 2000, la Serbie est une nation meurtrie par 50 années de communisme ponctuées par des guerres nationalistes aussi violentes que dévastatrices.
À New Iberia, en Louisiane, une prostituée de 19 ans est retrouvée morte et mutilée. Il s’agit de la dernière victime d’un tueur en série qui s’attaque à de très jeunes femmes. L’inspecteur Dave Robicheaux chargé de l’enquête soupçonne Julius « Baby Feet » Balboni, une figure de la mafia locale. Dans le même temps, il arrête pour conduite en état d’ivresse Elrod Sykes, une star hollywoodienne venue en Louisiane tourner un film et dont l’un des producteurs n’est autre que Julius Balboni. L’acteur lui confie avoir découvert des ossements humains dans le bayou du delta de l’Atchafalaya. Cette découverte fait resurgir chez Dave des souvenirs du passé : trente-cinq ans plus tôt, il a assisté au meurtre d’un homme noir à cet endroit.
Le sénateur Carroll, candidat démocrate aux élections présidentielles américaines, a été assassiné en 1971, lors d'une conférence de presse-buffet, par l'un des serveurs. Une commission d'enquête ne retient pas l'hypothèse d'une quelconque conspiration et conclut qu'il s'agit d'un acte isolé commis par un déséquilibré. Au cours des trois années qui suivent, la plupart des personnes qui ont assisté à cet événement meurent les unes après les autres à la suite de divers accidents.
Un clochard, qui vient de gagner une forte somme à la loterie, est la cinquième victime d’un mystérieux assassin qui signe ses crimes d’une carte de visite au nom de Monsieur Durand. Le commissaire Wenceslas Vorobeïtchik, appelé par tous Wens, se voit donner deux jours pour l’arrêter. Mila Malou, son amie, veut être engagée par un imprésario, qui lui fait comprendre que si elle avait son nom dans le journal, comme Monsieur Durand, il l’engagerait. Elle a alors l’idée d’arrêter celui-ci. L’assassin tue encore. Mila est arrêtée alors qu’elle est en chasse de Monsieur Durand et finit par demander qu’on appelle Wens. Un agent veut arrêter un homme ivre, perché sur un bec de gaz, qui vient de l’injurier. Il tire sur ses habits, pour le faire descendre. Il déchire ainsi la poche de sa veste d’où tombe, sans qu’il ne s’en rende compte, un lot de cartes au nom de Monsieur Durand. Au commissariat, Wens reconnaît l’homme, Turlot, à qui il a déjà eu affaire. Il lui apporte l’adresse de Monsieur Durand, une pension au 21 avenue Junot. Cette adresse, il l'a découverte grâce aux cartes, que Wens a ramassées, et qu'il sort d’un chiffonnier qu'il a récupéré à la pension. Wens laisse à Mila une lettre à remettre au préfet, sous deux jours, et lui révèle qu’il espère arrêter Monsieur Durand.
René Allio s'est inspiré d'un ouvrage du philosophe Michel Foucault, publié en 1973, qui rassemblait les témoignages du jeune parricide. Dans le film, c'est Pierre Rivière qui raconte sa vie.
Christina mène une existence malheureuse auprès de son mari, Michel Delasalle, un directeur tyrannique et cruel du pensionnat pour garçons dont elle est propriétaire. Elle sait qu'une des institutrices, Nicole Horner, est sa maîtresse officielle, mais cela n'a pas empêché les deux femmes de se rapprocher l'une de l'autre : Christina voit en effet en Nicole une compagne d'infortune et qui partage avec elle sa haine envers le directeur.
Une passagère d'une voiture-couchettes d’un train Marseille-Paris est retrouvée étranglée. Par la suite, plusieurs des autres occupants du compartiment où elle se trouvait sont assassinés, alors que la police tente de recueillir le témoignage de chacun. À la police judiciaire, l'inspecteur Grazziani et son assistant Jean-Lou Gabert sont sommés de mettre fin rapidement à cette vague de crimes. Détail étrange : le tueur est plus rapide que la police pour retrouver ses potentielles victimes, les cinq occupants survivants du compartiment.
Une jeune femme sert d'« appât » en boîtes de nuit, faisant semblant d'être séduite et permettant, comme le cheval de Troie, à ses acolytes de s'introduire chez sa proie une fois qu'il la ramène chez lui. D'abord conçu afin de réaliser des cambriolages, ce scénario tourne à la torture et à la folie sanguinaire.
Le documentaire retrace sa carrière professionnelle, de son retour au Mozambique sous Samora Machel, à sa désillusion face au nouveau régime en place. Son engagement incessant aux côtés de la population lui vaut l’estime de tous, excepté du parti au pouvoir. Ce dévouement le pousse à conserver son indépendance d’esprit en menant des enquêtes impartiales, dénonçant les manquements du système.
Dans un pays fictif (ou pour le moins non précisé), un homme d’État fête sa réélection. La foule en liesse s’amasse aux abords des routes que le cortège emprunte lors de son passage. Pourtant, en pleine journée, devant une masse conséquente de témoins, le président Marc Jary est assassiné dans sa décapotable. On lui a tiré dessus depuis un bâtiment surplombant le défilé.