Borry Bana est une expression en langue bambara qui veut dire « la fuite est terminée ». Elle a été utilisée par le célèbre combattant africain Samory Touré ; traqué par les colons français, sa dernière devise restera dans l’histoire : « Borry Bana, ce camp sera le dernier ». Norbert Zongo a repris cette expression quand il a fondé son propre journal, L’Indépendant, en déclarant « L’Indépendant sera indépendant ou ne sera pas ». Ce fut sa dernière bataille. Le film revient sur l’affaire de l’assassinat du journaliste d’investigation Norbert Zongo, qui bouleversa le Burkina Faso. Un hommage à un homme qui a consacré sa vie à défendre les faibles et les sans voix.
Le corps d’une fillette étranglée et violée a été retrouvé dans les dunes. Huit jours plus tôt, on avait trouvé dans la même région une autre fillette ayant subi le même sort.
Près de Lyon, le cadavre d'un jeune homme flotte sur le Rhône. Hervé Cagan (Gilbert Melki), inspecteur de police, célibataire, fête l'anniversaire de sa nièce chez son frère Yvan (Éric Laugérias). Il reçoit un appel téléphonique et part, alors que son frère lui annonce qu'il a une maîtresse. En compagnie de son collègue Nicolas Bianchini, ils rejoignent leur collègue Karine Mangin (Emmanuelle Devos) sur la rive, où un cantonnier a trouvé le corps. Dans le portefeuille de la victime, elle trouve sa carte d'identité : Vincent Bouvier (Cyril Descours). Le médecin légiste fait ses premières constatations : la mort remonte à moins d'un jour, il a été étranglé, il a au moins une blessure causée par un objet contondant.
Bruno et Marilyne Caron, un jeune couple modeste, quittent leur petite ville du Nord avec leur fille pour redémarrer une nouvelle vie à la montagne. Sur place, ils louent un chalet à la famille Castang, d'importants promoteurs immobiliers, avec qui ils vont sympathiser. Si tout se passe pour le mieux au départ, les époux Caron, à cause d'une série de déconvenues, vont nourrir une haine et une jalousie féroces envers cette famille aisée qui les conduiront à commettre l'irréparable.
Japon, 1863. Hachirō Kiyokawa bien que roturier est un redoutable bretteur, violent et connu pour sa proximité avec les nationalistes qui souhaitent le retour au pouvoir de l'empereur Kōmei au détriment du shogun Tokugawa. Aussi lorsque Hachirō Kiyokawa est relaxé du meurtre d'un policier et que le ministre du shogun lui confie la tâche de lever une milice (le Rōshi gumi) pour combattre les troubles à Kyoto, la cité impériale, au nom du shogun, amis comme ennemis s'interrogent sur les motivations de ce samouraï retors...
L'histoire vraie des cent derniers jours du général des carabiniers et plus haute autorité pour lutter contre la mafia Carlo Alberto dalla Chiesa, préfet de Palerme, qui fut assassiné à la mitraillette avec sa femme et son garde du corps par un escadron de mafieux le 3 septembre 1982.
Un couple formé par un ancien écrivain entre quarante et cinquante ans qui a sombré dans l'alcoolisme, et une belle jeune femme de vingt ans sa cadette, bat de l'aile.
Le film s'inspire de la vie du prêtre Jerzy Popieluszko, membre de Solidarność, arrêté, torturé et assassiné par la police secrète communiste, la Służba Bezpieczeństwa (Sécurité intérieure), le 19 octobre 1984.
Le film est consacré au premier Premier ministre de la République démocratique du Congo, Patrice Lumumba. Le film détaille son ascension politique, ses relations avec Mobutu et son élimination brutale en janvier 1961.
La richissime Camilla Tressilian a l'idée saugrenue de réunir chez elle Guillaume Neuville, son neveu, Aude Neuville, ex-femme de Guillaume, et Caroline Neuville, épouse actuelle de Guillaume ; sont également présents Marie-Adeline, la secrétaire de Camilla, Fred Latimer, un ami de Caroline, Thomas Rondeau, un ami de longue date. Tous sont réunis au manoir de la Pointe aux Mouettes, la somptueuse demeure de Camilla. Mais l'ambiance devient nettement plus glaciale quand, au petit matin, la servante découvre avec horreur que Camilla Tressilian a été sauvagement assassinée dans son lit, le crâne défoncé. Héritage ? Crime passionnel ? Haine ? Préméditation ? Coup de tête ? Tout est possible. Pourtant, le commissaire Martin Bataille doit faire vite, car l'heure zéro approche.
Le jour de son départ à la retraite, le magistrat italien Rosario Saracini reçoit d'un inconnu un film en super 8. Il y découvre les images de l'enlèvement par les Brigades rouges, le 16 mars 1978, de l'ancien Président du Conseil Aldo Moro, qui fut ensuite séquestré puis assassiné. L'agrandissement d'une image de la pellicule lui permet d'y reconnaître un colonel du SISMI, les services secrets militaires italiens. Cet élément troublant, qui vient s'ajouter à d'autres détails non élucidés, incite le juge à explorer l'affaire à nouveau.
Dans une ville de province, le jeune juge d'instruction Jean-Marie Fayard (Patrick Dewaere), surnommé « le Shériff » en raison de son intégrité et de son tempérament impétueux, met en détention préventive un industriel local, suite à une suite d'accidents de travail mortels dans son usine. Ses supérieurs hiérarchiques lui font comprendre vertement leur désapprobation, et finissent par lui retirer l'affaire.
Bien que coupable, Vincent a été autrefois acquitté pour le meurtre de sa femme. En contrepartie, le juge de l'affaire, l'Elégant, le charge, quelques années plus tard, de tuer Marie, la femme de son neveu Paul. Le juge, éternel célibataire, Paul et Vincent partent à la recherche de l'infidèle. Leur périple sera émaillé de rencontres diverses, animé de discussions passionnées à propos des femmes et des relations qu'ils ont avec elles.
Prudence et Bélisaire Beresford jouissent d'une retraite bien méritée. Bélisaire vient de publier son autobiographie, minimisant le rôle de Prudence dans ses aventures, selon les conseils de son éditrice. Rudi, leur beau-fils a été abandonné par Marie-Christine, leur fille, et loge chez eux avec leurs petit-fils, les jumeaux Pascal et Patrick. Déprimée, Prudence décide de prendre la direction d'une agence de détective privée à Genève. James Van Luyderkerke vient de Bruxelles lui demander de retrouver sa fiancée, Ludmilla Sakhaline, l’héritière d’un magnat pétrolier russe, qui a disparu après s’être soi-disant rendue chez des amis qui ne l’attendaient pourtant pas. Grâce à Bélisaire, Prudence retrouve les traces de Sakhaline à la clinique du Phoenix, où elle serait une des patientes du docteur Lanson. Lorsqu’elle parle à mademoiselle Sakhaline, celle-ci se cache d’abord derrière ses draps, et s’avère être une dame plus âgée affirmant être la mère de Ludmilla ; cette dernière aurait abandonné le projet de mariage et se serait enfuie pour la Russie.
Mortimer Brewster vient annoncer à ses deux tantes Adèle (Dorothy dans la pièce de Théâtre) et Martha, qui l'ont élevé, son mariage avec la fille du révérend Harper, qui habite la maison d'en face. Mais il découvre, caché dans un coffre sous la fenêtre, le cadavre d'un vieil homme. Ses deux tantes lui avouent alors, le plus ingénument et le plus naturellement du monde, qu'elles se sont fait une spécialité de supprimer les vieux messieurs seuls au monde en vue de leur rendre service, non sans prononcer pour eux des éloges funèbres.