Avec le fil rouge d'une jeune serveuse provinciale et autour du théâtre des Champs-Élysées à Paris, plusieurs personnages font basculer leur vie : un riche homme d'affaires liquide sa collection d'art moderne chez Drouot ; une comédienne populaire qui répète au théâtre rêve d'interpréter Simone de Beauvoir ; un pianiste préparant son concert étouffe dans ses conventions ; la concierge part à la retraite…
Depuis plus de 60 ans, Traude Krüger (Monica Bleibtreu) donne des cours de piano dans une prison pour femmes. Ces cours sont considérés comme un luxe par le personnel de la prison, d’autant plus que seulement quatre détenues en bénéficient, et lorsque le directeur Meyerbeer (Stefan Kurt) en fait la remarque auprès de Traude Krüger, celle-ci se met en colère puisqu’elle prend la majeure partie des frais à sa charge. Par exemple, elle fait installer un nouveau piano qu’elle a elle-même acheté.
Thyagayya (Nagaiah) is a villager composing devotional music to Rama while rejecting the court of Serfoji, Maharajah of Tanjore (Narayana Murthy), the dominant cultural center of the region. Turning down invitations and gifts from the Maharajah, he provokes the jealous wrath of his brother Japesen (Lingamurthy). The film's climax comes when Japesen destroys Rama's idols, Thyagaraja resurrects them eventually and sacrifices his life to his God.
Dans une banlieue populaire de Tunis, un tromboniste de fanfare rêvait que son fils, Anès, devienne un grand musicien. S’appropriant le rêve du père, l’enfant a développé des aptitudes extraordinaires dans la pratique du violon. Il a remporté plusieurs concours et a finalement accédé à la prestigieuse École Yehudi Menuhin de Londres. Le film retrace les étapes de ce parcours hors du commun, les obstacles qu’Anès rencontre, son évolution durant son exil en Europe.
Avec 10 millions d’habitants, Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, est la troisième plus grande ville d’Afrique. Le film montre comment des personnes y résidant ont réussi à construire un des systèmes les plus complexes existant dans le domaine de la coopération humaine : un orchestre symphonique – l'Orchestre symphonique kimbanguiste, jouant Haendel, Verdi, Beethoven. Kinshasa Symphony montre Kinshasa dans toute sa diversité, son rythme, ses couleurs, sa vitalité et son énergie. C’est un film sur le Congo, sur les habitants de Kinshasa et sur la musique.
Alessandro habite à Strasbourg avec sa fille Irina, 15 ans, et son frère Luigi, un marginal contestataire et fantasque qui se vit comme un réfugié politique de son pays, l'Italie, depuis l'arrivée au pouvoir de Silvio Berlusconi. Professeur de musique baroque et traditionnelle, Alessandro est également lecteur dans les hôpitaux auprès de malades âgés. Veuf et célibataire depuis pratiquement la naissance de sa fille, il éprouve le plus grand mal à dépasser le souvenir et la présence de sa femme et à se reconstruire une vie à soi, protégé et protecteur de son cocon familial. Irina qui entre dans l'adolescence vit cependant mal l'étouffement de son père et cherche à s'épanouir, notamment avec la complicité de son oncle.
Dans un club de jazz, Cathy (Merle Oberon), riche et belle, s'éprend de Dan (Dana Andrews) le pianiste aveugle de l'orchestre, compositeur au talent prometteur, mais personnage distant et renfermé. Cathy feint d'être pauvre et aveugle pour se rapprocher de lui, et l'aider.